Gagnant sur toute la ligne
David Mercier produit des poulets à griller à Saint-Roch-Ouest, dans Lanaudière. Alors qu’il avait installé des ESA-1000 pour réduire ses coûts de chauffage, le producteur a rapidement été surpris par les autres bénéfices de la technologie sur l’ensemble de son élevage.
Propriétaire depuis 2010 et quatrième génération à la tête de la ferme Mercier & Beaudry inc., David Mercier mise sur l’innovation pour améliorer sa productivité.
« Je suis souvent au bureau, en rencontre. J’avais besoin de pouvoir contrôler facilement mes échangeurs d’air à distance, mentionne-t-il. J’utilisais déjà le contrôleur d’environnement Nano d’Intelia et les ESA-1000 sont les seuls à pouvoir se connecter à mon système. »
Au moment d’installer ses échangeurs d’air, le producteur avait le choix entre deux stratégies. « J’aurais pu choisir de maintenir les mêmes conditions d’élevage et réduire mes coûts de chauffage. L’autre option était d’augmenter la ventilation pour améliorer l’ensemble des conditions d’élevage, sans nécessairement faire des économies d’énergie. J’ai choisi la deuxième option et je ne le regrette pas du tout », soutient-il.
Installés à la ferme depuis l’automne 2019, les douze échangeurs d’air ESA-1000 ont fait leur preuve plus d’une fois. David Mercier a non seulement observé une diminution de la condamnation de ses oiseaux, mais il a également noté que la litière était nettement plus sèche en fin de lot grâce à une meilleure ventilation. À chaque début d’élevage, il remarque également que ses oiseaux sont plus vifs grâce à la baisse du taux de CO2.
Les poulaillers de la ferme Mercier & Beaudry ont été construits en 1982 et 1988. Il n’est donc pas toujours évident d’y contrôler l’humidité. À la fin d’un deuxième hiver passé avec ses ESA-1000, le producteur affirme avoir maintenu de belles conditions tout au long de la saison froide. « L’air était beaucoup plus sec qu’avant », assure-t-il.
Une aide financière appréciée
Accéder à des subventions a été un facteur important dans la prise de décision du producteur. Grâce au programme Transition Énergétique Québec qui encourage notamment la diminution des émissions de CO2, il a économisé les deux tiers du coût du projet. « L’équipe d’ESA a tout géré. Ils ont rempli les papiers, envoyé les demandes et on fait tous les suivis nécessaires », souligne le producteur.
Une technologie fiable, simple et efficace : c’est tout ce dont David Mercier avait besoin. Il s’est retrouvé avec un système ultra performant qui a dépassé ses attentes. Il peut donc dire « mission accomplie ».
D’ailleurs, il n’hésitera pas à installer des ESA-1000 dans son nouveau poulailler. « Quand je serai rendu là, ESA risque de recevoir un coup de fil de ma part ! »